BARON MAXIME C’EST…
Le vin : un univers noble, riche, mais parfois austère, intimidant et – on ne va pas se mentir — peut-être un peu snob.
De la tradition, Baron Maxime n’a gardé que le meilleur : le savoir-faire et la recherche du goût. Créer des vins uniques à partir d’associations audacieuses et sans aucun a priori, c’est la mission que s’est fixée Baron Maxime.
Rouges, blancs, rosés, pétillants, les vins Baron Maxime peuvent tous prétendre à de complexes dissertations sur leur longueur en bouche ou leur retour tannique… mais ce qui importe, c’est le plaisir, non ?
UN UNIVERS, UN ÉTAT D’ESPRIT..
OUBLIER LES CODES POUR MAXIMISER LE PLAISIR
Souvent méconnu, l’assemblage est pourtant l’une des étapes les plus déterminantes dans la naissance d’une cuvée. C’est le moment où le vigneron fait des choix, exprime sa personnalité et affine le goût qu’il souhaite donner à sa cuvée. Dans un domaine, il y a plusieurs cépages ou plusieurs parcelles qui sont traditionnellement vendangés et vinifiés dans des cuves séparées. Quand la vinification de chaque cuve est terminée, l’assemblage peut commencer : il consiste à mélanger les vins issus de ces différentes cuves.
Les appellations sont là pour contrôler et certifier les assemblages de cépages donnés ou autorisés.
Et si on se donnait le droit d’ouvrir le champ des possibles ? Bousculer les codes pour maximiser le plaisir. C’est de cette envie qu’est née Baron Maxime.
Le plaisir justement, c’est ce qui motive Maxime Double et c’est pour cela qu’il a décidé de s’affranchir des conventions de l’assemblage traditionnel. Pourquoi ne pas simplement associer les vins sans contrainte géographique pour leurs seules qualités respectives ? Pourquoi ne pas inventer le vin dont on a envie ?
Tel un alchimiste, un chef cuisinier ou un maître parfumeur qui dose avec patience, goûte et tâtonne jusqu’à trouver le goût ou la fragrance qu’il recherche. Le credo de Maxime: ne s’interdire aucune association si le plaisir gustatif est au rendez-vous.
Le pari est risqué dans cet univers où la tradition domine. C’est une œuvre de patience, mais dans laquelle il est épaulé par ses dénicheurs qui savent trouver la pépite qu’il convoite, et bien sûr, par son œnologue, et non moins sœur, qui sait donner vie et corps à ses idées folles. Sa première réalisation en 2009 avait conquis bien des palais, L’Eclectique 2019 renoue avec cet art de l’assemblage avec des vins de trois domaines issus de trois régions différentes (Châteauneuf-du-Pape, Saint-Estèphe et Languedoc) en est un exemple éloquent.
Une nouvelle fois, un pari fou, un pari risqué, mais… un pari gagné ! La preuve par le verre !
Maxime Double est issu d’une noble lignée dont certains représentants ont marqué l’histoire de France. C’est Olivier Double, courageux écuyer, qui vaut en 1378 le titre de baron à ses descendants
pour avoir déjoué un complot contre le futur roi Charles V. Par la suite la famille s’étend et s’illustre dans différents domaines tels que les ordres, l’art ou la médecine.
Citons Vital Double, secrétaire du roi François Ier ou encore Pierre Joseph Double, fondateur de l’académie de Médecine avec Portal et élu membre de l’institut en 1832.
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La couronne est un signe extérieur de noblesse. Avant qu’on ne leur coupe la tête, les nobles la portaient fièrement — parfois avec peine, au vu de son poids ! — lors des événements officiels.
Il faut savoir que chaque degré de noblesse avait une couronne dédiée. Celle du roi était la plus riche, la plus ouvragée et la plus lourde à porter.
De fait, les membres de la royauté la portaient rarement et jamais à même la tête. Plus on on descend dans la hiérachie de la noblesse royale, plus la couronne devient portable. Véritable instrument de torture disco pour le roi, le dauphin et le prince, elle tient presque du couvre-chef pour le vicomte, le vidame ou le chevalier.
Celle de baron est plus fine et élégamment ornée de rangées de petites perles de biais. Une élégance et une audace qu’on ne retrouve dans aucune autre. Coïncidence ?
COMMENT LA PORTER ?
Pour donner de la noblesse à vos soirées Baron Maxime vous prête la sienne — bien moins difficile à porter dans sa version allégée !
On la porte avec tout, mais surtout avec un verre de vin Baron Maxime ! L’élégance de l’objet saura rehausser les tenues les plus simples et sublimer les plus sophistiquées.
On la porte pour porter un toast, évidemment ! Saviez-vous que, d’après des études très sérieuses menées dans un panel de mariages triés sur le volet, le port de la couronne augmentait l’impact du discours de plus de 70 %.
On évite de la porter quand on est de mauvaise humeur, quand on s’ennuie ou qu’on s’endort devant la télé. Un peu de tenue !
On la revisite façon canotier légèrement sur le côté pour une garden party réussie, en arrière pour dégager votre regard ou au contraire devant votre front pour augmenter votre aura de mystère pendant un rendez-vous galant.
JENNIFER
Mon rôle dans la société : Hello, Buenos Dias , Konnichiwa … l’export c’est mon domaine ! Au sein de Wines Tree, je suis principalement en charge de la logistique et du transport de notre divin nectar à l’étranger. Adressez-moi votre commande, celle-ci sera traitée dans la minute qui suit… challenge accepted !
Ce que j’aime : La natation synchronisée pour le côté pailleté ^^ et les randos roller.
CÉCILE
Mon rôle dans la société : Je suis un peu « Madame Oui » vers qui chacun se tourne pour poser une question. J’organise, je planifie, je cherche, je crée, je vérifie, je valide, je fais en sorte que tout rentre dans les cases et que les cases s’imbriquent correctement.
Ce que j’aime : Ce qui est vrai, Sergei Polunin qui danse sur “Take Me to Church” by Hozier, l’architecture moderne, la musique des années 80, les bonbons qui piquent, relever des défis.
CAMILLE
Mon rôle dans la société : Graphiste, ma mission est d’écouter, rebondir, proposer des idées puis les concrétiser quel que soit le support de destination.
Ce que j’aime : ‘’Musicovore’’ dans l’âme, pas un jour ne passe sans que je laisse planer mon esprit au rythme des sons, des notes, qui accompagnent mon quotidien. La vue, l’ouïe et l’odorat sont les trois sens qui me touchent le plus et qui rendent ma vie si délicieuse…
PASCAL
Mon rôle dans la société : Je suis en quelque sorte l’ambassadeur de la marque auprès des professionnels de la restauration et du vin comme les cavistes ou les grossistes. Avec notre réseau d’agents, j’assure la promotion de nos différentes cuvées lors de tournées qui m’emmènent aux quatre coins de la France.
Ce que j’aime : Vauban et la poliorcétique, les chansons d’Eddy Mitchell et l’œuvre de Klimt ! Et bien sûr les films fantastiques, l’exégèse de la bible, le Moyen-Orient et les spaghetti aux palourdes.
MAGALI
Mon rôle dans la société : Ma fonction au sein de Wines Tree concerne la partie comptable, la saisie de toutes les pièces de vente, d’achat, de banque … en euros, en yens, en dollars, en pesos, en wons… en vue de l’élaboration du bilan.
Ce que j’aime : Pour m’évader de mes calculs et conversions je pars marcher sur les monts Koghi, le Piton de la Fournaise, les Calanques, la Sainte-Victoire et n’oublie jamais de revenir à mes origines sur les pas de Stevenson…